Si vous venez de google en ayant spécifiquement cherché ces albums, félicitations. Vous avez survécu aux mots clefs les plus dangereux du monde éditorial actuel et vous vous êtes dors et déjà préparé à la lecture qui va suivre.

On connaissait David Genchi pour sa propension à la tripaille turgescente et aux interconnections corporelles un peu dégoutantes tirées d’une esthétique japonaise de la souffrance érotique. L’apparition de son frangin William au manettes scénaristiques lui permet de transférer cet univers décadent dans un livre jeu idéalement foutraque et perturbateur dont le récit à embranchement ne nous épargnera rien.