Un échec du didactisme
Arno-de-chez-pulp's-en-face m'a confirmé ce matin que j'allais me régaler avec le recueil 7 de Walking Dead en français sorti il y a peu. Il a même pronostiqué que j'allais me mettre à l'anglais pour lire la suite tellement le cliffhanger était mortel, vu que la suite chez Delcourt ce sera dans 6 mois...
Je ne doute pas des qualités de cet album que je dévorerai ce soir, maintenant que j'en ai fini avec Death note, mais là, ma bibliothèque refuse de l'accepter. Le rayon est plein, elle dit stop. Dur moment que nos clients connaissent bien que le choix déchirant de ce qui doit partir. Et que doit-on garder en priorité ? Faut-il privilégier le sérieux, l'émotion, les chefs-d'oeuvre, les souvenirs d'enfance ou les raretés ?
Mon regard s'arrête sur mes 4 Promethea... Oui trois beaux semic books noirs et un panini marronnasse... Mais oui, le 4 m'avait tellement ennuyé que je n'ai jamais acheté les suivants. Pourtant cette série partait bien, jusqu'à ce que le professeur Moore, Alan de son prénom, commence à vouloir éduquer les foules de ses disciples en régurgitant tous les beaux livres de magie et d'ésotérisme que ces gros cons de fans de comics ne peuvent pas lire tout seuls.
Tout ce baratin pour vous annoncer que les quatre premiers tomes de Promethea sont à vendre chez nous (Serpente pour l'instant mais ce n'est pas dit qu'ils ne migrent pas vers Dante prochainement !) en pack pour la somme de 45 euros. Et oui, pour avoir le 2 qui est ultra rare faut acheter les autres autour. Mais bon, les trois premiers sont franchement bien et la suite a beaucoup de défenseurs...
L'illustration Walking Dead reproduit un ex-libris des "librairies" bdfugue café.